Tantque votre amie n'a pas signé le CDD, elle n'a pas de raison de s'inquiéter. De tout façon, le CDD lui sera sans doute remis juste avant le début de son contrat. Donc pour moi, pas d'affolement, attendez d'en savoir plus sur votre situation, avant toute chose. Bonne chance.
Dieuvous bĂ©nira et ouvrira les yeux de votre entendement afin que vous puissiez voir la fin dĂšs le commencement. Le respect des principes Ă©noncĂ©s dans Jeunes, soyez forts vous apportera lâestime de vous-mĂȘme. Ăcrivez ces principes dans votre cĆur et dans votre esprit et vivez-les.
8Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 9.Ne te hĂąte pas dans ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensĂ©s. 10.Ne dis pas: "D'oĂč vient que les jours anciens Ă©taient meilleurs que ceux-ci?" Car ce n'est pas par sagesse que tu interroges Ă ce sujet.
Cequi est fait n'est plus à faire - quand on peut faire une chose, il ne faut pas la différer à un autre temps. Chacun est bossu quand il se baisse - il ne faut pas se moquer des défauts des autres, en particulier quand ils sont dans une position difficile. Chacun pour soi, Dieu pour tous - Laissons à Dieu le soin de s'occuper des autres. Chacun son métier et les vaches seront bien
Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement âșïž Nous avons dĂ©buter notre aventure au mois de juin il a fallu Ă nos enfants de s'armer de courage ,de patience de braver
LAFIN VAUT MIEUX QUE LE COMMENCEMENT: RĂCIT AUTOBIOGRAPHIQUE (French Edition) eBook : N'GUESSAN, CATHERINE: Amazon.co.uk: Kindle Store
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Mieux vaut la fin dâune chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient quâun esprit hautain.» ââEcclĂ©siaste⏠â7:8⏠âLSGâŹâŹ Pour bien commencer Jump to Sections of this page
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đŠ (@am_nelly18) : « La fin dâune chose vaut mieux que son commencement đ€Łđđ #Am_Nellyđ
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Lafin dâune chose vaut mieux que son commencement Report this post Laetitia Adje Laetitia Adje Gestion de projets / Financement Published Jul 3, 2021 + Follow Je termine une confĂ©rence sur le
Lp9taQ. Eltanin T. RosierSombralAge 37Messages 271Gallions 1630Date d'inscription 29/10/2019Feuille de personnageBaguette 34,6 cm, bois dâolivier, ventricule de dragon, elle est assez PurTravail / Etudes Apothicaire MaĂźtre des PotionsMar 29 Oct - 1905Eltanin Terebellum Rosier34 ans â Sang-Pur â Jake GyllenhaalNationalitĂ© Gallois Maison SerdaigleOrientation Sexuelle DemiromantiqueSituation maritale officieusement fiancĂ© Situation financiĂšre AisĂ©e Travail Apothicaire Baguette 34,6 cm, bois dâolivier, ventricule de dragon, elle est assez 1m86Corpulence ElancĂ©eCheveux Brun foncĂ©s, raides, souvent plaquĂ© en arriĂšre, mi-longsYeux bleu cielAutres Bien que tu nâaies que peu de grains de beautĂ© sur le visage, tes bras et ton dos en sont peuplĂ©s, tâaimes pas spĂ©cialement ça, alors quand tâen a lâoccasion, tu prĂ©fĂšres porter des manches longues. Tâas eu une sĆur jumelle, mais tâen parle assez rarement, voire pas du tout. Tâas une cicatrice sur lâavant-bras droit, assez longue, trace de ton premier signe de magie. Si Ă force de persĂ©vĂ©rance et de patience, tu as fini par devenir un Legilimens, tâas eu nettement plus de mal avec lâOcclumancie, et tu nâen maĂźtrises que quelques bases peu fiables. Tu ne supportes pas vraiment le silence, alors il tâarrives inconsciemment de tapoter doigts sur la table, ou de taper lĂ©gĂšrement du pied lorsquâil nây a pas assez de bruit ambiant Ă ton goĂ»t. Tâas une assurance assez incroyable, que ce soit en tes gestes, tes paroles, tes idĂ©es. Quelque chose qui tâa toujours poussĂ© Ă donner du meilleur de toi-mĂȘme, Ă avancer, sans te poser trop de questions non plus. Si tâas pu faire des erreurs dans le passĂ©, tâas essayĂ© dâen retirer Ă chaque fois une leçon. MĂȘme si lâĂ©chec ne te fait pas spĂ©cialement peur, jusquâĂ maintenant, rien de ce que tâas pu faire ne tâa menĂ© Ă mort, tâen es bien heureux, et tu ne vois pas pourquoi tu devrais commencer Ă douter de assurance qui peut mener Ă un certain entĂȘtement. Tâaimes vraiment pas devoir admettre oralement que tâas tort, ou juste dire quâune autre personne est meilleure que toi. Si tâas une idĂ©e en tĂȘte, il sera extrĂȘmement difficile de te la sortir. Tu viendras mĂȘme Ă faire preuve dâune mauvaise foi assez incroyable si on tâamĂšne des preuves concrĂštes pour te dĂ©montrer tes fautes. Et revenir plus tard, ou le lendemain comme une fleur en ayant changĂ© dâavis, et en faisant comme si tu nâavais jamais eu tort de ta vie. Tâas une curiositĂ© assez forte, voire mĂȘme sans aucune limite. Elle pousserait presque Ă faire croire que tu as un certain dĂ©ficit de lâattention. Tâes capable en pleine conversation de changer de sujet Ă une vitesse assez incroyable, simplement parce que quelque chose dâautre Ă captĂ© ton esprit, que tu tâes vraisemblablement au choix lassĂ© de ce dont vous parliez juste avant, ou que ta curiositĂ© tâas poussĂ© Ă tâintĂ©resser Ă autre chose. Nâayant aucune notion de ce qui peut ĂȘtre bien ou mal tu te retrouves parfois dans des situations classĂ©es Ă©thiquement et moralement mauvaises selon la sociĂ©tĂ©, juste pour satisfaire ton besoin de comprendre, de toucher Ă tout. On ne peut clairement pas tâenlever le fait que tâas un sang-froid, une patience assez mĂ©morable. Tu peux te retrouver dans la pire des situations, que tu continueras dâagir comme Ă ton habitude, sans pour autant te mettre Ă stresser. Tâes franchement pas une personne quâon Ă©nerve facilement. Agacer, câest diffĂ©rent, mais il y a peu de chances pour que tu ne tâemportes suite Ă des remarques quâon puisse te faire. Tu gardes un ton et une attitude assez posĂ©s et gĂ©nĂ©ralement peu agressifs. Tu nâas strictement rien contre la violence physique, ou en tout cas en voir, mais tâaimes vraiment pas te salir les mains, si tâen veux Ă quelquâun, tu prĂ©fĂšres clairement le lui faire payer par des moyens plus quelquâun de rarement sĂ©rieux. Tâestimes que tâas quâune seule vie, et quâil vaut mieux en profiter plutĂŽt que de sâembourber dans des situations barbantes. Tout est sujet Ă lâamusement, dont les autres. A quelques dĂ©tails prĂšs, tu serais capable de les considĂ©rer comme Ă©tant des bouffons prĂ©sents pour te divertir. Mais il leur arrive de le faire sans mĂȘme que tu ne demandes quoique ce soit, donc bon, tu ne vas pas tâen plaindre. Tâaimes pas du tout te prendre la tĂȘte, sur quelque chose ou avec quelquâun, alors les conflits et les problĂšmes, tu prĂ©fĂšres nettement les prendre Ă la point auquel il est difficile de ne pas faire attention, câest ton Ă©gocentrisme. Il paraĂźt dĂšs les premiĂšres minutes de conversations. Parce que ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© est bien Ă©videmment, ta petite personne. Si tu arrives Ă ne pas ramener un de tes nombreux faits durant plus de cinq minutes, cela tient presque du miracle. Tu ne te prends pas pour nâimporte qui, en fait. Tâes totalement persuadĂ© dâĂȘtre lâune de ses personnes mĂ©ritant ĂȘtre au-dessus des autres, et ce pour plusieurs raisons dâ on sâadresse Ă toi, il vaut mieux ne pas tout prendre au premier degrĂ©. Lâhumour noir et lâironie, ce nâest vraiment pas ça qui te manque dans la vie, tâen a Ă revendre, en fait. Et peu importe ton interlocuteur, quâil sâagisse dâun de tes supĂ©rieurs ou non, tâen feras preuve, quand bon te semble. Tu ne vois pas vraiment lâintĂ©rĂȘt de tâen priver, ni mĂȘme pourquoi tu devrais te freiner dâune maniĂšre ou dâune plus, tâadores parler. Tu pourrais passer des journĂ©es entiĂšres Ă le faire, si ton corps te le permettait. Et ce, de tout et de rien. MĂȘme si trĂšs clairement, ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© sont les divers ragots et commĂ©rages que tu peux trouver. Pas spĂ©cialement pour les utiliser par la suite contre les personnes en question. Mais câest distrayant et gĂ©nĂ©ralement assez amusant, aussi. Tout autant que ceux qui peuvent te concerner. Tâaimes laisser planer le doute, et juste savoir ce quâon peut bien penser de toi, que ce soit positif ou nâest gĂ©nĂ©ralement pas difficile de devenir de quelle humeur tu es. Il faut dire que ton visage est un peu comme un livre ouvert. Tâes expressif, presque excessivement. Que ce soit tes yeux, tes sourcils, ta bouche, tes mains, tes paroles sont bien souvent suivies de mouvements les appuyant. Bien que le ton de ta voix pourrait bien souvent suffire. Surtout que tâes loin dâĂȘtre discret lorsque tu parles. Tâhurles pas non plus, mais si tâas quelque chose Ă dire, et envie dâĂȘtre entendu, tâhĂ©sites pas Ă parler par-dessus les ne tâennuies presque jamais, tâarrives Ă tâoccuper avec un rien, et qui plus est, ton cerveau ne se retrouve que trĂšs rarement totalement au repos. Tâas toujours des milliers dâidĂ©es, pas spĂ©cialement bonnes, qui te passent par la tĂȘte et tâas quâune envie, câest de toutes les accomplir. Câest par un aprĂšs-midi pluvieux dâautomne que la famille Rosier sâest agrandie non pas dâun, mais de deux nouveaux-venus. Ta sĆur, Misam, et toi-mĂȘme, Eltanin, deux noms dâĂ©toiles, comme dans les anciennes traditions de votre famille, auxquelles vos parents tenaient Ă©normĂ©ment. Ta sĆur Ă©tant nĂ©e quelques secondes avant toi, elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme ton aĂźnĂ©e, bien que lâon parlĂąt gĂ©nĂ©ralement de vous deux comme Ă©tant des jumeaux. Vous avez reçu la mĂȘme Ă©ducation, aucun favoritisme dâun cĂŽtĂ© ou de lâautre, vous Ă©tiez totalement logĂ©s Ă la mĂȘme enseigne. Qui soi dit en passant Ă©tait plus quâagrĂ©able, vous nâaviez aucun problĂšme financier, et votre mĂšre avait une certaine tendance Ă cĂ©der Ă vos caprices lorsque votre pĂšre avait le dos tournĂ©. Cependant, vous aviez des caractĂšres assez diffĂ©rents. Alors que tâaimais te dĂ©marquer, prendre les devants lorsque tâen avait lâoccasion, Misam Ă©tait plus renfermĂ©e, plus taciturne. Elle avait aussi un peu plus de mal Ă aller vers les autres, et tâavais dĂ©cidĂ© par toi-mĂȘme de lâaider, de lâentraĂźner le plus souvent possible avec toi, peu importait ce que tu pouvais faire. Tu te disais que de toute maniĂšre ça ne pouvait quâĂȘtre mieux que de la laisser seule dans son coin , dans votre maison. Elle ne semblait pas toujours Ă lâaise, mais tâavais un peu pris lâhabitude de la voir rĂ©agir de cette maniĂšre, alors tu nây faisais plus spĂ©cialement attention. Vos parents Ă©tant tous deux des sorciers, vous aviez passĂ©s des nuits dans votre chambre Ă parler, rĂȘver, de ce que pourrait bien ĂȘtre votre premier signe de magie. Signe qui se faisait franchement tarder que ce sont de ton cĂŽtĂ© ou du sien. Ce nâest que lâannĂ©e de tes six ans quâil daigna se montrer, sans doute pas de la meilleure des maniĂšres. Par ennui et curiositĂ©, tâĂ©tais allĂ© dans la cuisine alors que cela tâĂ©tait formellement interdit par ton paternel. Pas du tout un endroit pour vous, qui Ă©tait presque entiĂšrement rĂ©servĂ© Ă lâelfe de maison de la famille. Mais il tâarrivait dây faire un tour, surtout que ce soir-lĂ , tes parents recevaient tes amis, ce qui signifiait que forcĂ©ment, il y aurait un dessert. Et vu que personne nâavait daignĂ© te dire ce que câĂ©tait, tâĂ©tais allĂ© voir par toi-mĂȘme. Tâavais Ă©tĂ© assez déçu en remarquant quâil sâagissait dâune espĂšce de piĂšce montĂ©e aux fruits rouges, alors que tout ce dont tu avais envie, câĂ©tait de quelque chose de commencĂ© Ă te plaindre, en espĂ©rant que cet elfe qui nâĂ©tait absolument pas sous tes ordres, mais plutĂŽt sous ceux de tes aĂźnĂ©s, ne change dâavis et ne cĂšde Ă ton caprice. Ce quâil ne fit absolument pas, alors tâavais continuĂ© de te plaindre et de tâĂ©nerver tout seul, jusquâĂ faire une vĂ©ritable crise de larmes digne dâun enfant de deux ans, mais tâavais clairement mis ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©. Tu ne supportais pas quâon puisse te tenir tĂȘte. Et Ă force de tâĂ©nerver, les tiroirs ce sont ouverts sans raison, quelques couteaux en sont sortis, avant dâaller se planter dans les divers murs de la piĂšce. Nettement plus de peur que de mal, personne nâen Ă©tait mort, fort heureusement, mĂȘme si lâoreille de lâelfe de maison en avait pris un coup, et surtout ton bras droit. Tâavais Ă©tĂ© mitigĂ© assez fortement entre la joie, comprenant quâil sâagissait de ta magie qui se manifestait enfin, et encore des pleurs, vu que tu ne tâĂ©tais jamais rĂ©ellement fait mal et que tu Ă©tais certain quâil allait maintenant falloir dâamputer le bras et que tu ne pourrais plus jamais lâutiliser. Totalement faux, aprĂšs quelques heures, tout Ă©tait redevenu dans lâordre, tâavais plus quâune cicatrice, que tu portes encore aujourdâhui. Et tout le monde Ă©tait heureux et soulagĂ©s, hormis peut-ĂȘtre Misam qui semblait encore un peu plus stressĂ©e que dâ tout un temps, tes parents, toi aussi dâailleurs, ont cru quâil sâagissait dâune cracmol, mais le jour de vos neuf ans, elle fit totalement fondre les bougies qui se trouvaient sur la tarte quâon vous avait prĂ©parĂ©e. Visiblement un trĂšs gros problĂšme avec les desserts dans votre famille, mais soit. TâĂ©tais content pour elle, mĂȘme si ça ne tâaurait absolument pas dĂ©rangĂ© de commencer Ă faire tes Ă©tudes sans elle Ă Poudlard. Un grand moment, ça aussi. Surtout lors de vos achats au Chemin de Traverse. Vous aviez pu choisir un animal, tâavais optĂ© pour un chat, un persan chinchilla qui tâavait directement tapĂ© dans lâĆil. Ta sĆur avait voulu aussi prendre un fĂ©lin, mais il sâĂ©tait vite avĂ©rĂ©, mĂȘme dans le magasin, que celui que tu avais choisi ne supportait absolument pas la prĂ©sence des autres et tentait dâĂȘtre agressif avec eux. Vous aviez deux choix, soit tu optais pour un autre, soit Misam pouvait prendre un autre animal, en espĂ©rant quâil sâentendrait avec lui. Il nâavait pas fallu longtemps pour que la deuxiĂšme option soit adoptĂ©e. Tu nâavais aucune envie de dĂ©truire les quelques rĂȘves que tâavais pu faire avec cette boule de poil blanche en une poignĂ©e de seconde non plus. Puis elle avait eu droit Ă un beau grand-duc aussi. Bien que tu le trouvais un peu ridicule, mais tâavais Ă©vitĂ© de le dire Ă voix arrivĂ© le jour tant attendu de votre rentrĂ©e. Tu ne tenais clairement plus en place, alors que Misam traĂźnait un peu des pieds. Tu savais quâelle avait un peu peur de devoir quitter la maison, lâespĂšce de cocon que vous aviez avec vos parents, tâavais essayĂ© de la rassurer en lui disant que de toute maniĂšre vous seriez ensemble, que ce serait beaucoup trop bien si vous vous retrouviez dans la mĂȘme maison. Tâavais sĂ»rement dĂ» lui dire que tu ne la lĂącherais pas dâune semelle si ça pouvait lui faire plaisir. Que vous vivriez cette expĂ©rience ensemble, et quâil nây avait rien Ă craindre. Et une fois sur place, elle semblait sâĂȘtre calmĂ©e, toute aussi fascinĂ©e que toi par les Ă©tĂ© le premier Ă passer sous le Choixpeau. Les secondes les plus longues de ta vie, sans aucun doute. Les plus excitantes que tâaies pu vivre jusquâĂ tes onze ans, aussi. Il avait mis un peu de temps avant de se dĂ©cider Ă tâenvoyer chez les Bleu et Bronze. Ce qui te convenait parfaitement, tâĂ©tais dĂ©jĂ assez optimiste, et tâaurais rĂ©ussi Ă trouver du bon peu importe oĂč tâaurais atterri. Un peu moins lâavis de tes parents dâailleurs, mais ce nâĂ©tait pas comme si tu pouvais y changer quoique ce soit. Misam fut la suivante. A ta surprise, elle fut envoyĂ©e dans la mĂȘme Maison que la tienne, et ça tâarrangeait, tu te serais senti un peu mal de lui avoir dit quelques heures auparavant que vous nâalliez plus vous quitter, si vous ne partagiez mĂȘme pas les mĂȘmes salles communes. Tâas pas tardĂ© Ă te faire un groupe dâamis, faut dire que tâas jamais Ă©tĂ© trĂšs difficile, et que tâes facilement repĂ©rable, autant que mĂ©morable. Puis lors de ta troisiĂšme annĂ©e, ton cousin, Tomos vous avait rejoint chez les bleu et bronze. Tu lâavais toujours apprĂ©ciĂ©, tu le considĂ©rais mĂȘme plus que comme un frĂšre, alors pouvoir passer encore plus de temps avec lui, tâĂ©tais beaucoup trop heureux. Tu vivais tranquillement ta vie, et franchement dâun point de vue externe, tu te fondais dans la masse. Tâexcellais quâen Potions et Divination, le reste Ă©tait plutĂŽt assez moyen, voire mĂȘme mĂ©diocre lorsquâil sâagissait de la MĂ©tamorphose. A un tel point que lorsque vous deviez travailler en binĂŽme, tâavais du mal Ă en trouver un, et tu finissais gĂ©nĂ©ralement par te retrouver avec Misam. Tu passais pas mal de temps avec elle, tu continuais de lâinclure lorsque vous faisiez des sorties Ă PrĂ©-au-Lard, ou mĂȘme des sorties aprĂšs le couvre-feu, qui Ă quelques reprises se conclurent en retenues. Puis durant votre cinquiĂšme annĂ©e, presquâĂ la fin, il y avait eu ce pote, qui Ă©tait venu te voir pour tâavouer que ta sĆur lâattirait, mais quâil nâosait pas vraiment lâaborder. Tâavais pas trop su comment le prendre, au dĂ©but. Tâavais toujours un peu ce cĂŽtĂ©, Ă vouloir protĂ©ger Misam de tout. Mais quâest-ce qui pourrait mal se passer, ce mec tu le connaissais depuis au moins trois ans, vous vous entendiez plus que bien. Alors tâavais Ă©tĂ© voir ta sĆur, commençant Ă presque lui vendre votre homologue, du mieux que tu le pouvais. Tu te rappelles lui avoir dit quâelle Ă©tait chanceuse, que câĂ©tait vraiment quelquâun de bien. Tu ne sais mĂȘme plus combien de temps ça a durĂ©, votre conversation, mais ce fut assez long. Long mais payant. Quelques jours plus tard tu les avais vu ensemble, et tâĂ©tais carrĂ©ment content pour eux. Tu nâavais pas voulu tâimmiscer plus que ça, surtout que vos arrivaient. Un grand moment. Surtout lorsque deux semaines avant le dĂ©but des Ă©preuves, tu tâĂ©tais rendu compte que certaines de tes notes Ă©taient incomplĂštes. Tu tâĂ©tais dit que tâirais au talent, ça avait toujours fonctionnĂ©. Puis tu tâes rendu compte aprĂšs ton premier examen, celui dâHistoire de la Magie, ça nâallait clairement pas suffire. Est-ce que tâavais passĂ© tout le restant de la journĂ©e Ă paniquer et Ă agresser verbalement chaque personne tâadressant la parole ? CarrĂ©ment. Toutes sauf une. Misam Ă©tait arrivĂ©e, avec ses notes pour te les passer. Elle avait toujours Ă©tĂ© plus organisĂ©e que toi, et elle avait fini dâĂ©tudier pour la journĂ©e. Pour pratiquement toute la session mĂȘme, elle tâavait dit. Tâaurais jamais pu la remercier Ă sa juste valeur, elle tâavait carrĂ©ment sauvĂ© dâun redoublage. Tâavais aussi de la chance dâavoir une bonne mĂ©moire, mĂȘme si tâavais dĂ» sacrifier quelques heures de sommeil, tâavais trouvĂ© un bon crĂ©neau, pour ne pas commencer Ă mourir sur tes parchemins les jours suivants. Et tâĂ©tais totalement Ă©tĂ© insupportable, jusquâaux rĂ©sultats. Surtout que vos parents avaient prĂ©vus un voyage en France quelques semaines aprĂšs, vous aviez de la famille du cĂŽtĂ© de ta mĂšre installĂ©e par-lĂ , et tu nâavais aucune envie que ce soit gĂąchĂ© par une ou plusieurs notes particuliĂšrement nulles, mĂȘme si tu savais dĂ©jĂ que tâavais ratĂ© un cours. Tu te souviens tellement bien du jour oĂč les hiboux sont arrivĂ©s. TâĂ©tais seul dans le salon, accoudĂ© Ă la fenĂȘtre, prĂȘt Ă rĂ©agir au premier mouvement un tant soi peu suspect. Tes parents travaillaient et Misam Ă©tait dans votre chambre, en train de prĂ©parer sa valise, elle devait passer quelques jours avec son copain et sa famille tu ne savais oĂč. Quand les volatiles Ă©taient arrivĂ©s, tâavais eu du mal Ă ne pas leur arracher lâenveloppe des mains. Dâailleurs sur le coup, tu nâavais pas compris, mais le hibou dĂ©tenant la lettre de ta sĆur restait rĂ©solument devant toi, en te tendant la patte, alors que tu lui avais dit quâelle Ă©tait en haut. Tâen avais dĂ©duit quâil Ă©tait juste dĂ©bile hein. Et tâavais aussi pris sa lettre au passage. Tâavais ouverte la tienne en appelant ta sĆur presque assez fort pour que tout le village ne soit au courant, mais tâavais pas entendu de rĂ©ponse. TâĂ©tais sans doute trop absorbĂ© par la lecture de tes notes. Etonnement, tâavais rĂ©ussi Ă avoir non pas deux O, mais trois, en plus de tes matiĂšres de prĂ©dilections, tâavais rĂ©ussi Ă en dĂ©goter un en Botanique. Le reste Ă©tait un doux mĂ©lange de E et de A, sauf pour lâHistoire de la Magie. Un beau P y trĂŽnait. Mais tâallais plutĂŽt lâ lâenveloppe de Misam tâavait intriguĂ©e. Elle Ă©tait plus lourde. Et ta curiositĂ© tâavait poussĂ© en deux secondes Ă lâouvrir Ă son tour. Le poids vu vite expliquĂ© par lâinsigne de prĂ©fet qui sây trouvait. Tâavais beau eu te dire dâĂȘtre heureux pour elle, tâen avais juste retirĂ© une certaine jalousie. Une certaine envie aussi. Pourquoi elle particuliĂšrement, et pas toi ? Voir mĂȘme, vous deux ? Tâavais songĂ© un instant le garder pour toi, mais câĂ©tait ridicule, la direction devait avoir des papiers prouvant que câĂ©tait Ă elle. Tâavais aussi regardĂ© son relevĂ© de notes. Lui par contre, Ă©tait un peu moins bien que le tiens. Un soulagement, mĂȘme une certaine fiertĂ©, vu que tu tây Ă©tais pris au dernier moment contrairement Ă elle. Et comme elle ne venait pas, tâavais dĂ©cidĂ© dâaller directement la trouver, avec presque la ferme intention de te vanter de tes notes, tout en essayant de minimiser ce que le poste de prĂ©fet pouvait lui apporter. Sauf que Misam, elle nâa jamais su tout court quâelle Ă©tait nommĂ©e nâa jamais su quâelle avait rĂ©ussi absolument tous ses Ă©tait bien dans votre chambre, le corps inerte, retenu par une corde accrochĂ©e Ă une des poutres. Le sourire que tâavais sâĂ©tait figĂ©, lâinformation avait mis du temps Ă monter. Tâavais quand mĂȘme fini par percuter, aprĂšs une poignĂ©e de secondes. Tâavais tellement pas su quoi faire, Ă part lâappeler, en espĂ©rant quâelle pourrait te rĂ©pondre. LâidĂ©e de la dĂ©tacher tâĂ©tais passĂ© par la tĂȘte, mais quelque chose tâempĂȘchait trĂšs clairement de lâapprocher. De la peur ? Sans doute. Jusque lĂ , tâavais jamais eu aucune expĂ©rience avec la mort. Mais tâavais eu la prĂ©sence dâesprit de prendre son hibou, pour pouvoir Ă©crire une lettre Ă tes parents, en espĂ©rant quâils la lisent assez rapidement. Et tâĂ©tais tombĂ© aussi sur un cahier qui tâĂ©tais Ă©trangement familier. Normal, tâavais eu exactement le mĂȘme Ă ton entrĂ©e Ă Poudlard, dâune couleur diffĂ©rente cependant. CâĂ©tait son journal intime, chacun Ă©tant protĂ©gĂ© par un certain sort dâinvisibilitĂ©. Sauf que tu voyais clairement quelque chose dâĂ©crit. Sans doute que le sort sâĂ©tait brisĂ© avec sa mort. Tu tâĂ©tais dit que tây trouverais peut-ĂȘtre des rĂ©ponses, de toute maniĂšre tâavais jamais eu autant de mal Ă rĂ©flĂ©chir quâĂ cet instant, de toute ta vie. Tu ne savais plus trop ce que tu faisais, et une fois le hibou parti, tâĂ©tais de nouveau allĂ© te rĂ©fugier dans le salon, Ă la diffĂ©rence que tu tâĂ©tais installĂ© presque prostrĂ© dans un des fauteuils, gardant un coussin prĂšs de toi, et ce journal. TâĂ©tais trop paniquĂ© pour pleurer, et mĂȘme pour faire quoique ce soit dâautre que de lire ce que tâavais en main. Tâaurais jamais dĂ» faire ça, pour ton propre bien. Tâaurais jamais dĂ» faire ça, pour respecter son intimitĂ©, sa rĂ©ponses, tâen a eues. Pas vraiment celles que tâaurais espĂ©rĂ©es. Tâavais mis un temps Ă le lire, plusieurs jours mĂȘme, lorsque tes parents Ă©taient revenus, tâavais juste eu le rĂ©flexe de le garder sur toi, le leur cachant dĂ©libĂ©rĂ©ment. Tu tâĂ©tais dit quâune fois que tâaurais fini de le lire, tu prĂ©tendrais lâavoir retrouvĂ© par hasard. Au final, tu ne le leur a jamais montrĂ©, encore aujourdâhui il est dans tes affaires, au milieu dâune multitude de bouquins traitants de sujets tout aussi divers les uns que les autres. Tu sais trĂšs bien quâil est lĂ , mais comment tâaurais pu le leur donner de ton plein elle nâavait jamais voulu spĂ©cialement se retrouver Ă Serdaigle, elle lâavait simplement demandĂ©, par peur dâĂȘtre sĂ©parĂ©e de toi, par peur que tu ne sois déçu si elle se trouvait autre part. A plusieurs reprises elle avait remis en cause ce choix, se rendant de plus en plus compte au fil des annĂ©es que ce nâĂ©tait pas du tout une Maison qui lui convenait, dans les idĂ©aux quâelle visait, les personnes qui y Ă©taient. Elle Ă©tait certaine que si elle Ă©tait allĂ©e dans une autre, elle aurait pu nettement plus Ă©voluer, se dĂ©complexer, plutĂŽt que de rester dans ton ombre la plupart du groupe dâamis ? ce nâĂ©tait pas quâelle ne le supportait pas, mais elle nâavait aucun atome crochu avec eux. Elle avait rĂ©ussi Ă en avoir dâautres, Ă cĂŽtĂ©, mais nâosant jamais dĂ©cliner les propositions de sorties que tu pouvais lui faire, elle avait fini malgrĂ© elle par les dĂ©laisser. Ta mĂ©diocritĂ© en MĂ©tamorphose ? Elle lâavait sans doute nettement plus subie que toi, sâĂ©tait retrouvĂ© par moment avec des malformations temporaires desquelles tâavais toujours ri, aprĂšs tout, ça partait au bout de quelques heures. Mais si tâen riait de bon cĆur, ce nâĂ©tait pas vraiment le cas de tout le monde. Les remarques, les regards, elle les avait tous notĂ©s, en espĂ©rant que ça passerait mieux si elle sâexprimait par Ă©crit. Mais plus les jours passaient, plus son style changeait, plus morne, plus sombre. Elle se remettait en doute, tout le heures de colles, tu les avais aussi prises Ă la lĂ©gĂšre, te disant que ça faisait partie dâune scolaritĂ© normale, tant que vous nâen aviez pas constamment. Vos parents vous avaient fait aussi quelques remarques, auxquelles tâavais simplement acquiescĂ©, promettant un peu trop lĂ©gĂšrement que tu ne recommencerais plus. CâĂ©tait tout autre chose pour ta sĆur, mĂȘme si elle en avait eue moins que toi, chaque paragraphe suivant une de ses retenues semblait ĂȘtre un concentrĂ© de manque de confiance en soi, de remise en question, elle venait Ă se demander ce quâelle faisait lĂ , pourquoi elle nâarrivait pas Ă passer au-dessus comme tu pouvais le faire. A se dire quâelle nâĂ©tait quâun boulet pour toi, que tout irait mieux si elle tâĂ©tais dit que ça ne pourrait quâaller mieux une fois quâelle se serait retrouvĂ©e avec son copain. Et mĂȘme si ça nâavait pas spĂ©cialement durĂ©, il te restait un nombre assez important de pages. TâĂ©tais vraiment trop naĂŻf, et trop con. Bien Ă©videmment, il y avait eu vos examens. Elle avait passĂ© un bon moment Ă sâinquiĂ©ter pour toi, ton Ă©tat en revenant de la premiĂšre Ă©preuve. Elle avait dĂ©cidĂ© de passer absolument tout son temps libre Ă complĂ©ter le plus possible ses notes en se renseignant Ă la bibliothĂšque, et auprĂšs de plusieurs enseignants. Si tâavais sacrifiĂ© quelques heures de sommeil pour Ă©tudier, elle avait passĂ© de nuits blanches sur ces cours quâelle te donnait, quâelle nâavait mĂȘme pas le temps de relire pour elle-mĂȘme. Elle se disait quâelle avait de toute façon dĂ©jĂ commencĂ© ses rĂ©visions, et que réécrire tous les renseignements lâaiderait aussi. Sauf quâelle finissait par sâendormir nâimporte oĂč, nâimporte quand, ne pensait mĂȘme plus Ă manger, trop obnubilĂ©e par tâaider dans ta Ă sa relation. Elle nâen avait jamais voulu, du tout. Elle lâavait acceptĂ© uniquement pour te faire plaisir, par peur une nouvelle fois de descendre dans ton estime. Puis tu lui avais assurĂ© que câĂ©tait quelquâun de bien. Et quâelle Ă©tait chanceuse. Si tâavais su. Il la forçait la plupart du temps Ă faire des choses quâelle ne voulait pas faire, câĂ©tait toujours de pire en pire, mais tâavais tellement lâair heureux quand tu les voyais ensemble quâelle voulait encore moins te dĂ©cevoir. Elle Ă©tait totalement perdue, pire que ça, elle cherchait de lâaide, mais elle en savait pas oĂč en demander, ni mĂȘme Ă qui. Et ces quelques jours quâelle allait devoir passer en compagnie de son copain, elle les craignait plus que tout. Et elle en Ă©tait arrivĂ© Ă un stade oĂč elle avait pris la dĂ©cision de tout arrĂȘter, dâarrĂȘter de vivre, dâĂȘtre un poids pour tout le monde, mĂȘme pour elle-mĂȘme. Dire quâelle se haĂŻssait Ă©tait un euphĂ©misme. Et tâavais bien dĂ» te rendre Ă lâĂ©vidence que tout ce que tâavais fait pour Misam, sâĂ©tait lâenfoncer. Lâenfoncer et passer Ă cĂŽtĂ© de son dĂ©sespoir. Ne pas lui tendre la bonne main. Ca tâavait fait beaucoup rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme. Bien la seule et unique fois oĂč tâas daignĂ© le faire. Tâessayais de comprendre comment tâaurais pu lâaider, avant de te rendre Ă lâĂ©vidence que tu ne saurais rien changer. Tu tâen voulais Ă©normĂ©ment, comment tâaurais pu ne pas le faire. Et les mois qui suivirent furent les pires de ta vie. Tu la cherchais inconsciemment, tu te cherchais aussi, certain dâavoir ratĂ© quelque chose, certain que si câĂ©tait arrivĂ©, câĂ©tait par ta faute, quâil fallait que tu trouves ce qui clochait en toi. Tu ne comptais plus le nombre de nuits oĂč tu te rĂ©veillais, persuadĂ© de lâavoir entendue, ou sentie. MĂȘme aprĂšs quâon tâait fait changer de chambre, ne supportant plus du tout lâancienne. Vous aviez quand mĂȘme tenu ce voyage en France, qui nâavait plus autant de valeur Ă tes yeux quâavant. Et lâambiance qui rĂ©gnait dans votre famille sonnait totalement faux. Tu lâavais un peu fuie dâailleurs, le plus possible, essayant de te changer les idĂ©es en rencontrant dâautres personnes. Pas uniquement tes cousins, mais aussi leurs amis qui avaient plus ou moins ton Ăąge. Tu cherchais clairement Ă combler le vide quâavait laissĂ© Misam, et ce de nâimporte quelle maniĂšre. Franchement, commencer Ă fumer ne tâa rien apportĂ©, si ce nâest une endurance un peu dĂ©plorable Ă ce jour, surtout au niveau de la respiration. Mais une fille avait attirĂ© ton attention. Ce nâĂ©tait pas que tâavais pas osĂ© lâaborder, mais tâavais un blocage. Peut-ĂȘtre que pour elle aussi, tu passerais Ă cĂŽtĂ© de quelque chose, que tu lui ferais plus de mal quâautre chose. Sauf que câĂ©tait elle qui sâĂ©tait rapprochĂ© petit Ă petit de toi. Qui avait clairement remarquĂ© que tes sourires Ă©taient un peu trop prononcĂ©s pour paraĂźtre vrai, que durant tes quelques moments dâabsence, tu pouvais avoir un air on ne peut plus maussade. Elle Ă©tait patiente, douce, protectrice aussi, mĂȘme si elle savait ce quâelle voulait et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle avait Ă©tĂ© la premiĂšre Ă te faire rire franchement depuis la disparition de Misam. Tu tâĂ©tais trĂšs rapidement attachĂ© Ă elle, et câĂ©tait totalement rĂ©ciproque. Vous vous Ă©tiez mis ensemble rapidement, peut-ĂȘtre un peu trop. Mais tâen avais besoin de cette attention, de cette affection. Comme tâavais besoin dâen donner. Vous passiez la quasi-totalitĂ© de votre temps ensemble. Un soir, tâĂ©tais prĂȘt Ă aller plus loin, mais tu lâavais sentie lĂ©gĂšrement rĂ©ticente, alors tâavais directement arrĂȘtĂ©, et elle tâavait parlĂ©. Elle avait aussi quelque chose sur le cĆur, qui la taraudait depuis un petit temps. Quelque chose quâelle nâavait jamais osĂ© te dire, quâelle essayait de cacher le plus possible. Elle avait mis du temps Ă mettre les mots, Ă se dĂ©cider Ă te dire quâelle Ă©tait un magnifique, le premier amour, on est prĂȘt Ă tout accepter, tout pardonner. MĂȘlĂ© Ă lâinsouciance de la jeunesse. Certes, tu ne tây attendais pas, tâavais essayĂ© de ne pas laisser transparaĂźtre ta surprise pour pas quâelle ne le prenne mal. Surtout quâĂ lâĂ©poque, tâĂ©tais clairement certain quâil sâagissait de la femme de ta vie. Tu lui avais dit que ce nâĂ©tait pas grave, que ça ne changeait rien pour toi. Ce qui Ă©tait en partie vrai, tu lâaimais tellement quâĂ lâĂ©poque, tâaurais Ă©tĂ© prĂȘt Ă faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Peut-ĂȘtre pour essayer de te racheter inconsciemment auprĂšs de Misam, certes. Sauf quâil fallait bien que tu rentres en Angleterre, Ă la fin des vacances. Tu lui avais promis de lui Ă©crire au plus vite, tâavais mĂȘme dĂ©jĂ demandĂ© Ă tes parents de pouvoir passer une semaine ici durant les vacances de NoĂ«l. Tâas tenu ta promesse, tu lui as Ă©crit. Si au dĂ©but tâavais des rĂ©ponses assez rapides. Puis un jour, le nĂ©ant. Total. Tu ne savais pas ce que tu avais pu dire ou faire. Mais câĂ©tait comme si elle avait disparue. Tâas aussi essayĂ© dâĂ©crire Ă ses parents, tout ce que tu avais compris, câĂ©tait quâils Ă©taient en pas eu envie dâabandonner, tâessayer de temps en temps de la recontacter. Et avec tout ça, le dĂ©but de ta sixiĂšme annĂ©e avait Ă©tĂ© une vĂ©ritable catastrophe. Une chute libre dans la totalitĂ© de tes matiĂšres, en mĂȘme temps tu ne trouvais mĂȘme plus la foi de faire tes devoirs, dĂšs que tu finissais les cours, tâallais directement dans ton dortoir, et tây restais jusquâau lendemain matin. Tâavais du mal mĂȘme Ă parler encore Ă tes proches, parce que tâavais peur de tout empirer. Jusquâau jour oĂč tâavais failli mettre fin Ă tes jours. Quâheureusement Tomos Ă©tait arrivĂ© Ă temps pour te soigner dâailleurs. Tu lui dois tellement de choses, tâen aurais presque honte. Chaque jour tu remercies la personne qui la pu le mettre sur ton prĂȘt aussi, Ă tout abandonner. Mais tes enseignants, ou en tout cas ton directeur de maison nâavait pas du tout eu lâair dâĂȘtre du mĂȘme avis. Il tâavait convoquĂ©, avec tes parents pour en parler. Pas la meilleure de ses idĂ©es, trĂšs clairement. Vous aviez juste fini par vous Ă©nerver. Et en ressortant tâĂ©tais mĂȘme plus spĂ©cialement triste, mais rancunier, tâen voulais Ă tout le monde, pour le moindre problĂšme. Tâavais Ă©tĂ© violent inutilement Ă plusieurs reprises, tâavais de nouveau Ă©tĂ© convoquĂ©, mais seul cette fois-ci. Il tâavait bien fait comprendre que si tu ne changeais pas dâattitude, tu allais droit dans le mur. Que soit tu allais rater ton annĂ©e, soit tu risquais dâĂȘtre renvoyĂ© temporairement si tu continuais de tâattirer autant dâennuis. Il tâa fait rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, essayant de tâaider, mĂȘme si tous ses conseils nâĂ©taient pas franchement utiles. Vous vous voyiez rĂ©guliĂšrement, et petit Ă petit, il tâavait aidĂ© Ă aller mieux, Ă utiliser cette espĂšce de colĂšre correctement. Elle nâĂ©tait plus restĂ©e trĂšs longtemps. Parce que tâavais pris une dĂ©cision. Celle de dâabord penser Ă toi. A ton avenir. Te prendre en main. Recommencer Ă zĂ©ro, ou presque. Tâen avais marre de te lamenter, de passer des heures Ă te poser des questions. Tu voulais changer et tâallais changer. Lâaltruisme que tâavais essayĂ© dâavoir nâavait pas fonctionnĂ© ? Tâallais plutĂŽt pencher pour lâĂ©goĂŻsme, qui Ă©tait mieux placĂ© que toi-mĂȘme pour savoir ce qui te ferait plaisir, ce quâil te fallait ? Tâas enlevĂ© tout ce qui pouvait ĂȘtre nĂ©gatif dans ta vie. Absolument tout. Tâas dĂ©cidĂ© de tout prendre assez lĂ©gĂšrement. De profiter aussi du fait que tâaies dĂ©libĂ©rĂ©ment des facilitĂ©s en Potions, et quâen plus ça te ne tâes plus jamais rien refusĂ©. Ni Ă toi, ni Ă ta curiositĂ© dâailleurs. Tâavais commencĂ© Ă tâintĂ©resser Ă toutes les sortes de magies. La noire plus particuliĂšrement. Simplement parce quâon ne vous en parlait que trĂšs rarement, quâon vous lâinterdisait Ă lâĂ©cole, et que tâestimais que dĂ©sormais le seul Ă pouvoir te donner des rĂšgles, câĂ©tait toi-mĂȘme, en fait. Surtout que tu ne faisais rien de mal, tu te renseignais. CâĂ©tait assez difficile Ă expliquer, mais tu tâen sentais plus proche, tâavais toujours envie dâen savoir plus, aussi. Ce qui ne tâa pas empĂȘchĂ© de te concentrer sur tes Ă©tudes. De te recentrer. Tâavais une idĂ©e bien en tĂȘte. Tu voulais suivre une formation bien particuliĂšre, celle de MaĂźtres des Potions. Une matiĂšre qui ne cessait aussi de te fasciner et avec laquelle il Ă©tait impossible de sâennuyer ou de tomber dans une certaine routine. Tout ce quâil te fallait. Tu savais quâil sâagissait dâĂ©tudes assez longues, mais tâĂ©tais clairement motivĂ© pour. Enfin rien de mal. Tâavais commencĂ© Ă comprendre que Tomos, tu ressentais un peu plus de choses pour lui quâun simple lien familial. Ou mĂȘme amical. Y avait ce jour oĂč vous aviez un peu trop bu, une des premiĂšres fois dâailleurs oĂč tu le faisais. Et tu lâavais embrassĂ©. Il ne sâĂ©tait pas retirĂ©, il nâavait rien tentĂ© mĂȘme, il y avait rĂ©pondu, mais vous lâaviez gardĂ© secret. Tâavais eu peur dâen reparler, et de casser cette amitiĂ© si spĂ©ciale que vous mĂȘme dâentrer Ă lâuniversitĂ©, tâavais choisi ta spĂ©cialisation ; les remĂšdes. Non pas pour avoir la satisfaction de sauver des vies, des gens. Parce que ce qui tâintĂ©ressait le plus Ă©taient les poisons, et les plantes qui pouvaient causer un empoisonnement. Voir lâeffet quâils pouvaient avoir sur le corps humain. Et aussi, la satisfaction de pouvoir se dire que tâĂ©tais plus fort que ça. Ta scolaritĂ© sâĂ©tait finie assez tranquillement, bien que tâaies commencĂ© Ă dĂ©velopper une certaine haine, ou en tout cas mĂ©pris envers les gens qui nâĂ©taient pas du mĂȘme rang que le tiens. GrĂące à ça, ça tâĂ©vitait de tâattacher Ă pas mal de monde dĂ©jĂ , et tâĂ©tais persuadĂ© de te protĂ©ger, au moins un minimum. Tes Ă©tudes supĂ©rieures ne furent pas spĂ©cialement une partie de plaisir. Si tâĂ©tais motivĂ©, que tâavais totalement les capacitĂ©s, tu nâaimais pas spĂ©cialement devoir apprendre sous la direction dâune personne, qui te disait constamment quoi faire. Qui te mettait des limites aussi, se permettant de te dire que telle ou telle chose Ă©tait peut-ĂȘtre trop difficile ou dangereuse pour toi. TâĂ©tais bien forcĂ© de lâĂ©couter, si tu voulais rĂ©ussir, mais rien ne tâempĂȘchait cĂŽtĂ© de tes cours de continuer de te renseigner sur tout et nâimporte quoi. Tâessayais de te dire que plus tu avancerais, plus ce serait intĂ©ressant. Et tâavais pas spĂ©cialement tort. Du tout. Les deux premiĂšres annĂ©es avaient Ă©tĂ© spĂ©cialement longues, mais les trois autres, tâavais eu un peu plus de libertĂ©. Le summum avait Ă©tĂ© les deux derniĂšres, que tu devais passer Ă lâĂ©tranger. OĂč tu devais changer de chaperon aussi, afin de tester tes connaissances et les remettre en question. Ca ressemblait nettement plus Ă un challenge que tâavais relevĂ© haut la main. Ton diplĂŽme en poche, tâĂ©tais retournĂ© en Angleterre, et tâavais pris une annĂ©e sabbatique. Tâavais pas eu envie de te lancer directement dans la vie active, tu tâĂ©tais posĂ©, tranquillement, en profitant pour te poser un peu, regarder aussi toutes les possibilitĂ©s qui pouvaient sâoffrir Ă toi. Et parfaire tes connaissances en Magie Noire, maintenant que tu nâavais plus personne pour tâen empĂȘcher. Au dĂ©but câĂ©tait un peu comme une fascination morbide. Puis ça ne sâest tenu quâĂ la fascination. TâĂ©tais bien conscient que tu ne pouvais dĂ©libĂ©rĂ©ment pas en parler librement Ă nâimporte qui. Mais tu lâutilisais. Mais ça tâallait. Totalement. Il a bien fallu que tu finisses aussi par te bouger, et trouver un travail. Tâas mĂȘme un peu galĂ©rĂ©, parce que certes, il y avait des postes Ă Sainte-Mangouste, mais ce nâĂ©tait pas assez bien pour toi. Quâest-ce qui Ă©tait assez bien pour toi, mĂȘme. AprĂšs quelques refus Ă gauche et Ă droite, tâas bien dĂ» mettre ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©, et te rabattre sur lâhĂŽpital. Vu ton parcours, tâavais pu devenir guĂ©risseur, au service dâempoisonnement, autant par les potions que par les plantes. TâĂ©tais plutĂŽt douĂ©, mĂȘme pour le cĂŽtĂ© relationnel. De base, tâaimes pas les gens, et pourtant, ça ne tâempĂȘche pas de parler Ă©normĂ©ment, de faire connaissance sans pour autant tây attacher. Ca fait mĂȘme maintenant neuf ans, que tu travailles Ă Sainte-Mangouste, que tu tâennuierais presque comme un rat mort. Heureusement quâil y a encore le bouche Ă oreille. Mais tâaimerais trouver quelque chose qui casserait totalement ta routine. Quelque chose qui puisse pimenter ta vie, y redonner un peu plus de couleurs. Tâes fatiguĂ© de te lever, dâaccomplir presque toujours les mĂȘmes gestes, de passer tes soirĂ©es hors de ton appartement, dans lâespoir de faire une rencontre intĂ©ressante, qui pourrait venir te sortir de pas de te dire que tu pourrais te rendre plus utile que ça et que tu pourrais accomplir plus de choses sur un plan personnel. Que tes envies de grandeur, de pouvoir ne doivent pas ĂȘtre si difficiles Ă assouvir. Bien Ă©videmment, une idĂ©e te passe de plus en plus en tĂȘte ces derniers temps. Un groupe qui est en train de monter en puissance, les Sombrals. Ils ne font pas que tâintriguer, ils tâattirent. Et tâas eu de la chance, dâen connaĂźtre celle qui est Ă la tĂȘte, qui fait en quelque sorte partie de ta famille. Qui a pu tây faire entrer. Tu ne la remercieras jamais assez non plus de tâavoir offert la possibilitĂ© dây entrer. Mais en fait, ta vie prend un tournant que tâaurais jamais imaginĂ©. Tâas rĂ©ussi Ă parler Ă ton cousin, aprĂšs une soirĂ©e mouvementĂ©e. Vous vous ĂȘtes mĂȘme mis ensemble, chose que tu nâaurais jamais cru possible. Tout ça, ça tâa donnĂ© le courage dâenfin prendre correctement ta vie en main, et de quitter ton travail, de le quitter et dâouvrir ta propre apothicairerie. Tu sais pas trop ce que ça donnera, mais bon, tâas plutĂŽt 30 Oct - 1118Tu me manquais dĂ©jĂ dis Fiche toujours aussi incroyable, je sais pas pourquoi ça aurait subitement changĂ© hein, bien hĂąte de reprendre tous nos petits rps parce que ça va ĂȘtre rigolo hihihijesaispluscequejedis BREF Rebienvenue et bonne validation awful
Jâai toujours aimĂ© les fins ouvertes au cinĂ©ma, Ă la tĂ©lĂ©vision et dans la littĂ©rature. Ces fins qui supposent un stimulus pour imaginer comment lâhistoire continuera, qui permettent de comprendre que cette histoire nâest pas complĂštement terminĂ©e. Un chapitre de plus a simplement Ă©tĂ© Ă©crit, fermant une Ă©tape pour en commencer une autre. Des fins pour comprendre quâune fin est juste un autre vie est remplie de cycles qui commencent et se terminent. De sorte que nous vivrons de nombreux commencements et de nombreuses fins. Certains dâentre nous les vivront personnellement, ils sâagira dâĂ©tapes de notre propre vie ; dâautres les vivront Ă travers les histoires dâautres personnes, quâelles soient vĂ©ridiques ou nous vivrons nos amours et ruptures amoureuses, nos succĂšs et nos Ă©checs scolaires, les chutes au moment dâapprendre Ă marcher ou Ă faire du vĂ©lo, les amitiĂ©s que nous construirons en chemin et celles que nous perdrons ⊠Dâautres personnes de notre environnement nous apprendront Ă travers le rĂ©cit de leurs propres expĂ©riences et nous aurons finalement lâoccasion dâapprendre des personnages de cinĂ©ma, de la tĂ©lĂ©vision ou de la littĂ©rature. La fin dâun livre Une fois de plus, je tourne les pages et vais de la fin au commencement, de la quatriĂšme de couverture Ă la couverture. Pour redĂ©couvrir le titre, regarder attentivement lâillustration qui lâaccompagne, pour tenir ce livre entre mes mains et rester quelques minutes en silence ⊠pendant que mon esprit voyage Ă nouveau Ă travers ses mots, ses pages, son histoire. Mais je dois revenir Ă la rĂ©alitĂ©, que cela me plaise ou non ; je suis dĂ©jĂ arrivĂ© Ă sa fin, cette fin qui laisse toujours un goĂ»t aigre-doux lorsque nous avons Ă©tĂ© pris par une histoire et que son dĂ©veloppement sâest mĂȘlĂ© au nĂŽtre. Peu importe si ces histoires sont racontĂ©es par des films, des livres ou des sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es. Des histoires longues ou courtes, qui peuvent durer des heures, des jours, des mois ou mĂȘme des annĂ©es. Elles ont quoi quâil en soit toutes une fin, Ă la fois redoutĂ©e et en mĂȘme temps espĂ©rĂ©e. Parfois, une fin ouverte qui donne des ailes Ă notre imagination pour continuer lâhistoire lorsquâil nâexiste pas de scĂšnes ou de mots Ă©crits de maniĂšre explicite. Parfois, tout simplement une fin soudaine rĂ©sultant de la grĂšve des scĂ©naristes des sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es ou dâun Ă©crivain qui souhaitait Ă©crire plus dâun livre mais nây parvient jamais. Ou mĂȘme une fin oĂč nous ne connaissons pas le dĂ©nouement car, aprĂšs une histoire fantastique, la personne qui tirait les ficelles ne su comment finir. Des fins tristes ou heureuses, des fins qui ne peuvent mĂȘme pas ĂȘtre dĂ©finies, mais des fins malgrĂ© tout. Des fins qui ne font que marquer de nouveaux dĂ©buts. Il est temps de se rĂ©veiller, de dire au revoir Ă cette histoire qui restera dans notre mĂ©moire et dans notre cĆur, nous embarquant dans de nouvelles aventures. Une fin est juste un autre commencement Faire face Ă la fin dâune histoire qui nous passionne nâest jamais facile. Ce nâest pas facile lorsque nous parlons dâhistoires de fiction, dont les personnages ont touchĂ© notre cĆur. Par consĂ©quent, il est dâautant plus difficile de reconnaĂźtre que la vie est cyclique et que chaque Ă©tape possĂšde dâun temps limitĂ©. Que lorsque quelque chose arrive Ă sa fin, nous nâavons pas dâautre choix que dâaccepter le fait quâelle nâa pas de suite et nous ouvrir Ă de nouvelles opportunitĂ©s. Tout commence et se termine, y compris la vie. Tout ĂȘtre vivant nĂ© et meurt. Et au cours de sa vie il doit faire face Ă de nombreuses Ă©tapes de croissance et dâĂ©volution. En tant quâĂȘtres humains, Ă partir du moment oĂč nous avons Ă©tĂ© conçus et que notre mĂšre est enceinte, nous commençons Ă grandir. Pour naĂźtre, environ neuf mois plus tard, la grossesse devra prendre fin. Nous ouvrons les yeux sur le monde en tant que bĂ©bĂ©s et nous continuerons de grandir et dâĂ©voluer pour devenir des enfants, ensuite des adolescents, puis des adultes, pour finalement embrasser la vieillesse. Chaque dĂ©but dâune nouvelle Ă©tape est liĂ© Ă la fin de la prĂ©cĂ©dente. Une fin est juste un autre commencement. Rien de plus ⊠et en mĂȘme temps, tout cela. Cela pourrait vous intĂ©resser ...
Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC EcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abattra la fermetĂ© de son Martin - 1744 - MAREcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose, que son commencement. Mieux vaut lâhomme qui est dâun esprit patient, que lâhomme qui est dâun esprit - 1811 - OSTEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient quâun esprit Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHEcclĂ©siaste fin dâune chose vaut mieux que son commencement, lâhumeur patiente est meilleure que lâhumeur Ăvangiles de FĂ©licitĂ© Robert de Lamennais - 1846 - LAMEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGREcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement ; mieux vaut patience que prĂ©somption. âBible de Lausanne - 1872 - LAUEcclĂ©siaste vaut lâissue dâune chose que son commencement. Mieux vaut lâesprit patient que lâesprit Testament Oltramare - 1874 - OLTEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !John Nelson Darby - 1885 - DBYEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient quâun esprit Testament Stapfer - 1889 - STAEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Bible AnnotĂ©e - 1899 - BANEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement, et mieux vaut lâesprit patient que lâesprit testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKEcclĂ©siaste fin dâune entreprise est prĂ©fĂ©rable Ă son dĂ©but ; un caractĂšre endurant lâemporte sur un caractĂšre et Vigouroux - 1902 - VIGEcclĂ©siaste vaut la fin dâun discours que le commencement. Mieux vaut lâhomme patient que lâ Louis Claude Fillion - 1904 - FILEcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abat la force de son Segond - 1910 - LSGEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient quâun esprit Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRAEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient quâun esprit Pirot-Clamer - 1949 - BPCEcclĂ©siaste la fin dâune chose que son commencement, - mieux vaut la patience que la de JĂ©rusalem - 1973 - JEREcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son dĂ©but, mieux vaut la patience que la Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Segond Nouvelle Ădition de GenĂšve - 1979 - NEGEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient quâun esprit AndrĂ© Chouraqui - 1985 - CHUEcclĂ©siaste vaut lâavenir dâune parole que son en-tĂȘte. Mieux vaut longueur de souffle que hauteur de Ăvangiles de SĆur Jeanne dâArc - 1990 - JDCEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Les Ăvangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !Bible des Peuples - 1998 - BDPEcclĂ©siaste Ă bien une entreprise vaut mieux que la commencer câest la persĂ©vĂ©rance qui compte, et non la 21 - 2007 - S21EcclĂ©siaste vaut lâaboutissement dâune affaire que son dĂ©but. Mieux vaut un esprit patient quâun esprit James en Français - 2016 - KJFEcclĂ©siaste vaut la fin dâune chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient quâun esprit Septante - 270 avant JĂ©sus-Christ - LXXEcclĂ©siaste áŒÏΏη Î»ÎłÎœ áœÏáœČÏ áŒÏÏᜎΜ αáœÎżáżŠ áŒÎłÎ±ÎžáœžÎœ ΌαÎșÏΞÏ
ÎŒÎż áœÏáœČÏ áœÏηλ᜞Μ Vulgate - 1454 - VULEcclĂ©siaste est finis orationis quam principium melior est patiens arroganteAncien testament hĂ©breu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSEcclĂ©siaste ŚÖ·ŚÖČŚšÖŽÖ„ŚŚȘ ŚÖŒÖžŚÖžÖŚš ŚÖ”ÖœŚšÖ”ŚŚ©ŚÖŽŚŚȘÖčÖŚ ŚÖčÖ„ŚŚ ŚÖ¶ÖœŚšÖ¶ŚÖ°ÖŸŚšÖŚÖŒŚÖ· ŚÖŽŚÖŒÖ°ŚÖ·ŚÖŒÖŸŚšÖœŚÖŒŚÖ·ŚNouveau testament grec - 2010 - SBLGNTEcclĂ©siaste verset nâexiste pas dans cette traduction !
vaut mieux la fin d une chose que son commencement