Laseule solution était le stérilet au cuivre. En effet, je ne voulais absolument pas changer pour autre chose d’hormonal, ça n’aurait aucun sens. Je supportais extrêmement bien la pilule, aucun intérêt à l’arrêter pour passer à autre chose d’hormonal. Je voulais justement m’en sevrer. J’ai donc pris RDV avec une
Aucunboutons, aucune douleur, aucun retard de règles ou de prise de poids. Tout s'est très bien passé, hormis que j'ai quelques "contractions" que je n'avais pas auparavant pendant mes règles, que mon flux est un peu plus abondant et dure 1 ou 2 jours de plus.
Lesprincipales choses à savoir : Le volume des pertes menstruelles est généralement compris entre 5 ml et 80 ml pendant une menstruation. Certaines méthodes de contraception peuvent avoir une influence sur le flux de vos règles. On parle de règles abondantes si la perte de sang est supérieure à 80 ml pendant une menstruation.
Lessaignements normaux d’un stérilet au cuivre Après la mise en place d’un stérilet au cuivre, les règles sont généralement plus abondantes. Le flux est plus important et elles durent plus longtemps : 8 ou 10 jours de règles ne sont pas rares.
Comme44,4% des jeunes femmes de 15 à 19 ans (selon le Baromètre Santé 2016 sur la contraception), mon premier réflexe contraceptif a été de me tourner vers la pilule. Or, très jeune déjà, j’avais entendu parler de stérilet (qu’on appelle aussi DIU). Ce moyen de contraception peu coûteux et moins dangereux que la pilule souffre encore aujourd’hui de préjugés graves.
Sommaire Les pertes marron ou brunes représentent le « vieux sang » oxydé dans l’utérus ou dans le vagin et qui s’évacue avec les pertes vaginales classiques. Elles peuvent survenir à
Benc est le meilleur choix que j ai jamais fait Plus de syndromes prémenstruel ,cycle naturel et libido au top ;-) Le seul inconvénient ce sont les règles plus gynéco ma bien dit que sous pilule se ne sont pas vraiment des règles .alors pour la pause ça pince un peu mais C est vraiment supportable,ça tire 2 ou 3 jours puis plus rien.apres on est
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J'ai fait posé un stérilet au cuivre ut380, 6 semaines après mon premier accouchement en septembre 2015. Posé par un obstétricien et surveillé tous les 6 mois, ce moyen de contraception sans hormones me convenait tout à
Ducoup, le 2 février, après un retard de règles de presque 15 jours, car oui, j'avais mes règles tous les mois, j'ai fait retirer mon stérilet en urgence, car vraiment RAS LE BOL de cette daube. Et depuis le retrait, je n'ai pas de contraception, je suis repartie comme en 40 et pour le moment je compte mes cycles, enfin, pour le moment j'attends d'avoir mes règles pour les compter
yysK. Quand cette lectrice a opté pour un DIU en cuivre stérilet » comme contraceptif, elle ne se doutait pas qu’il était possible que celui-ci se déplace et devienne ainsi inefficace… À trois reprises. J’ai 27 ans, et il y a un an et demi, je me suis posé cette question pour la première fois La pilule est-elle vraiment le meilleur moyen de contraception pour moi ? » Mon changement de contraception Après m’être informée auprès de sources multiples, avoir lu toutes sortes des témoignages et m’être laissé un moment de réflexion, j’ai décidé darrêter la contraception hormonale. Après 13 ans de pilule, j’avais envie de connaître mon corps d’une manière qui me semblait plus naturelle ». Je suis donc allé chez ma gynécologue avec la ferme intention de passer au Dispositif Intra-Utérin, alias le DIU stérilet » en cuivre. La pose s’est très bien passée, puis le médecin m’a remis un petit document qui indiquait la date du jour et la date de retrait, sans me donner plus d’indications. Et voilà, plus besoin de penser à la pilule tous les soirs, je suis libre pour 5 ans ! » Du moins c’est ce que je pensais… Et puis, un an après, j’ai réalisé un jour que mes règles avaient du retard. Je ne m’en suis pas inquiétée immédiatement, l’irrégularité étant assez fréquente pendant mes cycles. Mais deux jours plus tard, j’ai aussi commencé à avoir des nausées. J’ai donc demandé à mon copain d’aller chercher un test de grossesse à la pharmacie. Je me suis enfermée dans les toilettes, j’ai attendu le résultat… positif ! Comment cela pouvait être possible ? J’en ai fait un autre. Encore positif. À lire aussi Au fait… comment marche ta contraception, au juste ? J’étais sous DIU, et enceinte À ce moment-là, nous sommes en plein weekend. Tout est fermé, et je commence à paniquer. Je m’interroge j’ai 27 ans, des sous de côté, un appartement, un job… Je pourrais » avoir cet enfant. Mais je n’en ai pas envie ! Et c’est pour cela que je prends une contraception ! Qu’est ce qui a bien pu mal tourner ? Le lundi matin, je prends rendez-vous en urgence chez un médecin que je ne connais pas. Il est très gentil et compréhensif, mais quand je lui dis que je suis enceinte alors que j’ai un DIU en cuivre, il commence à paniquer. Il me recommande d’aller aux urgences immédiatement, sans me prescrire de prise de sang ou autre examen. Il m’explique que c’est sûrement une grossesse extra-utérine à cause du stérilet et qu’il ne faut pas traîner. J’appelle mon copain, en pleurs, et me dirige vers les urgences, encore plus paniquée que la veille. La gynécologue qui me reçoit est atterrée quand je lui raconte la réaction du docteur que j’ai vu plus tôt. D’après elle, une grossesse sous DIU n’est pas forcément extra-utérine, et le médecin n’avait pas lieu de m’effrayer autant ! Elle me fait une échographie pour découvrir que mon stérilet est placé très bas il est, de ce fait, inactif. Elle me le retire donc. Elle m’annonce par ailleurs que je suis enceinte de 4 semaines. Je peux mener cette grossesse à terme, ou entamer une procédure d’IVG. Après mon IVG, retour au stérilet en cuivre Je m’octroie quatre jours de réflexion, puis prends rendez-vous dans un Planning familial où on m’explique les procédures d’avortement. Je prends la décision d’avoir recours à une IVG médicamenteuse. C’est un cachet à prendre qui provoque des contractions et expulse l’œuf ; je passe une journée horrible, très douloureuse, pliée en deux sur le canapé, à gémir contre ma bouillotte. Une fois l’IVG passée, je revois mon médecin pour la visite de contrôle. Elle constate que tout va bien et me propose de me remettre un DIU en cuivre. Je lui demande si ce qui m’est arrivé pourrait se reproduire et elle me répond que ce serait vraiment exceptionnel. On procède donc à une nouvelle pose. Quand elle vérifie avec une échographie où l’objet se trouve, bizarre… Il était encore très bas, et ne serait donc pas actif ! Elle décide alors de me faire une échographie en 3D, m’expliquant que certains utérus sont en forme de cœur et ne sont pas propices au DIU. Ce n’est pas mon cas pendant cet examen, tout semble normal », et rien ne contre-indique cette contraception. Une troisième pose de DIU, et un troisième échec Elle me donne donc un autre rendez-vous pour mettre le stérilet, mais cette fois-ci avec deux médecins un pour poser le dispositif, et l’autre pour vérifier en même temps, par échographie, que celui-ci est bien placé. Je vous laisse imaginer la situation, qui fut loin d’être une partie de plaisir… Une fois le DIU posé, nous prévoyons de nous revoir dans six semaines pour pour contrôler que tout va bien. Par pure précaution, et avec un peu de méfiance, je lui demande si je peux également prendre la pilule pendant cette période histoire d’être sûre de ne pas tomber enceinte à nouveau l’IVG est une expérience que je n’aimerais pas réitérer. Elle accepte. Le lendemain de la pose, je commence à ressentir des douleurs qui ressemblent à des contractions. Jusqu’ici, tout est normal c’est une réaction fréquente de l’utérus après avoir été stimulé par la pose d’un stérilet au cuivre. Mais les douleurs perdurent, jusqu’à ce qu’une semaine plus tard, je me retrouve à nouveau pliée en deux. Je décide de retourner voir ma gynéco, en me disant qu’elle va finir par me donner une carte d’abonnement à la semaine ! Surprise… Le stérilet était à nouveau descendu, et donc à nouveau inactif. La troisième fois a été celle de trop j’ai demandé à ce qu’on me retire ce bout de cuivre pour de bon ! J’étais à la fois épuisée par ces complications et frustrée qu’on ne m’ait pas informée de cette possibilité. J’ai l’impression que beaucoup d’informations ne sont pas accessibles aux jeunes femmes, et je déplore cette situation qui nous oblige à utiliser des contraceptions que l’on ne comprend pas vraiment. À chaque corps sa contraception Après ces évènements, mon rapport à mon corps a complètement changé. C’est étrange, mais je me suis sentie trahie par celui-ci, un peu comme s’ il en avait fait qu’à sa tête sans me demander mon avis. N’ayant obtenu aucune explication sur les raisons de ce rejet, je me suis fait ma propre réponse et je me dis que mon corps n’en voulait pas, du DIU ! C’est la leçon que je tire de toute cette histoire chaque corps est différent, et une contraception ne vaut pas mieux qu’une autre. La meilleure, c’est celle qui vous convient le mieux, à vous et pas à une autre. Aujourd’hui je reprends des hormones, un peu à défaut d’autre solution. Je suis très tête-en-l’air, donc j’ai opté pour un implant. Peut-être que je me renseignerai à nouveau, plus tard, à la recherche d’autres solutions. Mais pour l’instant, cette aventure » a été éprouvante pour moi, et je préfère pour l’instant remettre ça à demain ! En croisant les doigts pour que d’ici là, un chercheur ait l’idée de contraception fantastique, ou bien démocratise les moyens de contraception dite masculine ». Car après tout, pendant l’acte sexuel, on est deux ! Une mésaventure de DIU cuivre qui reste rare Julie Illegems est sage-femme, et elle accompagne ses patientes dans leurs parcours contraceptifs. En découvrant l’histoire de cette lectrice, elle souligne que même s’il arrive que les stérilets bougent après leur pose, c’est un phénomène très rare. S’il est important de savoir que cette possibilité existe, il ne faut toutefois pas s’en effrayer. Elle explique que dans l’imaginaire collectif, on a beaucoup plus de mal à accepter une grossesse imprévue sous stérilet que sous pilule. Pourtant, aucun contraceptif n’est efficace à 100%. C’est une réalité qu’il faut avoir en tête, sans pour autant en avoir peur. Dans ces circonstances, le DIU reste un des moyens de contraception les plus efficaces pendant la première année d’utilisation, on compte une moyenne de 8% de grossesses sous pilule contre 0,8% de grossesses sous stérilet au cuivre. L’experte insiste aussi sur la nécessité de faire vérifier la position de son stérilet une fois par an, avec le médecin qui suit sa contraception Beaucoup de personnes s’imaginent que la pose d’un stérilet permet d’être tranquille » pendant 5 ans, et ne nécessite pas de suivi pendant cette période. Mais c’est faux il est important de faire vérifier son stérilet une fois par an, au moins pour vérifier qu’il est toujours en place. Elle rappelle qu’il est aussi possible de s’auto-examiner. Cette pratique, qui repose sur des auto-examens vaginaux réguliers, permet aux patientes de localiser la position habituelle des fils de leurs stérilet et d’en identifier ainsi les mouvements ou changements potentiels. À lire aussi Petites galères et grandes joies le DIU stérilet » raconté par 12 lectrices Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire !
Mes règles sont très abondantes alors que j’ai posé un stérilet qui empêche d’avoir très peu les règles de plus je suis ballonnée et j’ai l’impression d’avoir pris deux kilo alors que je fais attention à ce que je mange; Je ne peux pas vous dire si c’est génétique ou pas car ma mère est décédée très jeune donc pas moyen de le savoir. Comment savoir si c’est bien la périménopause?Vous avez donc fait mettre un stérilet hormonal, dont l’ambition c’est vrai, est d’apporter la contraception et aussi de diminuer si nécessaire le volume des règles. Il faut cependant attendre plusieurs mois afin d’obtenir une réelle diminution voire une absence de règles. Une consultation chez le médecin qui vous a posé ce stérilet me semble devoir être programmée afin de juger avec lui si l’on doit encore attendre quelques mois, "que les choses s’équilibrent" ou s’il faut dès à présent retirer ce stérilet. La périménopause survient plutôt vers 45-50 ans et vous n’avez que 40 ans. La modification de vos règles et de votre qualité de vie semble consécutive à la pose du stérilet plus qu’au début de la périménopause. >> A lire aussi Le stérilet, avantages et inconvénients
j'ai fait mettre le stérilet hormonal Mir*** il y a deux mois. Pas de douleur insupportable à la pose... c comme un frottis. Et par la suite je ne l'ai plus senti. En revanche, j'ai des saignements permanents depuis la pose c'est normal que ça saigne les 6 premiers mois .............c'est long, mais ça vaut le coup d'attendre ! Pour moi, stérilet au cuivre depuis les 4 mois de Félix et pas de retour de couches encore car je j'allaite encore. Pas de spotting, rien de spécial. j'attends de voir ce que ça va donner sur les cycles, mais bon, pas très inquiète car j'avais un cycle tous les 2 à 4 mois ! Mais c'est un peu le stress quand même de ne rien prendre ! Il faut faire confiance ! J'ai fait un test de grossesse il y a 3 semaines, car nausées +++ le matin. Test négatif, mais je vois des gastros toute la journée au cabinet et j'ai arrêté le motiliu* que je prenais pour l'allaitement. Et pour la pose du stérilet un peu douloureux pour moi car posé avant le retour de couches sur un col bien fermé, mais supportable. Je ne suis même pas tombée dans les pommes ! Donc, le stérilet, c'est quand même super !
15 jours de règles avec stérilet cuivre